Dans mon dernier billet, je vous ai promis un retour sur différents aspects de mon « bilan » après trois mois d’entraînement. Suite à une question de Veronique, une amie de New York rencontrée sur Twitter et qui suit nos blogues français et anglais (Thanks Vero!), je commence aujourd’hui par faire un retour sur les vêtements et l’équipement (communément appelé mon « kit de guerre ») que j’ai adopté pour mon jogging.
J’ai commencé à courir à la fin du mois de mai avec, pour tout équipement officiel, une bonne paire de souliers de course achetés dans une boutique spécialisée (, à Montréal). Au rythme où je cours, mes chaussures devraient faire l’affaire pour encore trois mois, au moins. Je retournerai à la Boutique Courir pour un petit examen de leur état lorsqu’elles auront six mois d’usure dans le corps!
Au moment d’acheter mes souliers, des Asics Gel 1130, la boutique m’a offert des bas de la même marque, en promotion. Peu de temps avant, mon conjoint s’était acheté des bas pour courir et je m’étais moqué de lui en voyant les petites indications « Left » et « Right » sur ses bas (ne les mets pas à l’envers! tu vas tourner en rond!). Bref, trois mois plus tard, mes bons bas de sport ordinaires sont finis : la plante de mes pieds commençaient à chauffer en fin de parcours et j’ai réalisé qu’un des bas était déjà percé. Si on veut se donner des chances, faut commencer par le bas! ; o)
En juin, Nathalie Roy, directrice Spa et Fitness du Spa Eastman, m’avait donné des trucs pour m’aider à mieux supporter la chaleur. Ça me donnait le look que vous voyez sur la photo. (En avant les As, Atomas!) Le jour où j’ai vu cette photo, j’ai opté pour un short et j’ai changé le chandail pour une camisole sport. Noire! Comme je courais tôt le matin, le soleil ne m’affectait pas trop. De plus, avec l’été de pluie qu’on a eu au Québec, je ne me suis pas pris de coup de soleil!
La casquette pâle m’est précieuse, autant pour me protéger du soleil que pour retenir mes cheveux. J’ai toujours mon précieux iPod aux oreilles mais je sais maintenant que je pourrais m’en passer puisqu’il a rendu l’âme à deux reprises pendant que je courais et que je n’en suis pas morte. Il y a trois mois, le simple fait de m’entendre souffler (comme un train!) suffisait à m’essouffler davantage et à me décourager.
Quant à la ceinture avec la bouteille d’eau, je ne m’en passerais plus pour tout l’or du monde! Pour une heure de jogging, j’y mets un litre d’eau. Lorsqu’il fait très chaud, je mets moitié eau, moitié jus d’orange. Avec une pincée de sel pour me reminéraliser pendant l’entraînement, question de compenser la perte provoquée par la sudation. Pour ce qui est du ballottement de la bouteille, qui m’ennuyait terriblement au début, je lui ai réglé son cas vite et bien. Si la ceinture est suffisamment serrée, la bouteille ne sursaute pas. Alors pour m’assurer que la ceinture reste bien en place, je la fixe avec deux bonnes grosses pinces à papier en métal! Pas chic, mais diablement efficace!
Dans mon prochain billet, je vous parlerai de rythme de course, de distance, de changement de parcours, de surface, etc. À moins qu’on y aille avec la motivation, le buzz du coureur, l’effet d’entraînement…
En attendant, puisqu’on a un beau week-end devant nous, est-ce qu’on se fait tous la promesse d’aller prendre au moins une longue marche? En tous cas, moi je le ferai. À votre santé!
Lucie